samedi 11 août 2012

Chemin du Roy - De Sainte-Anne-de-la-pérade à Donnacona

            Précédent  ☆ ☆ ☆  Voyages  ☆ ☆ ☆  Plein air  ☆ ☆ ☆ Suivante


7 août 2012 (jour 2 - étape 2)

Il faisait déjà chaud. Les quelques nuages qui avaient garni le ciel pendant une heure avaient complètement disparu. 

Dès que je suis partie de Sainte-Anne-de-la-pérade,  j'ai compris que le terrain avait changé. Denis aurait à circuler sur une route aux nombreuses courbes et où les pentes encore légères se succédaient sans arrêt.

Mais la piste suivait le large accotement de la route 138 et cette route était belle.  Rassurée, ma routine s'est installée. J'ai roulé une douzaine de kilomètres puis, avec l'application "mes amis" sur mon iPhone, j'ai vérifié où était rendu Denis. Rassurée qu'il faisait bonne route, je poursuivais mon chemin d'une autre douzaine de kilomètres.  

C'est comme cela, une douzaine de kilomètres à la fois, que je me suis rendu jusqu'à notre point de rencontre, le Tim Horton au sommet de la côte de Donnacona.  Il ne me restait plus qu'à attendre que Denis monte cette côte. Quand je l'ai vu arrivé, le sourire au lèvre, j'ai compris que tout se passait bien et qu'il était heureux. 

Il avait accompli, depuis notre départ de Trois-Rivières, à peu près 90 kilomètres. C'était le temps d'arrêter pour manger et vérifier la route de l'après-midi.  Selon mes calculs, il lui restait encore un peu plus de 40 kilomètres à faire. 

Cette fois, je n'ai pris qu'une seule photo sur la route, là où la forêt qui borde la falaise me laissait un trou. 
Comme vous pouvez le constater, en approchant de Québec, la falaise s'élève vers le cap Diamant sur lequel est sise la ville de Québec.  Puis, ici et là, les Laurentides trainent leurs pieds dans l'eau du fleuve, rendant ainsi le terrain en montées et en descentes.  


DONNACONA                                                                                              

La ville porte le nom de chef indien qui a vécu à Stadaconé sur la rivière Saint-Charles.

La ville commence son histoire en 1672 comme la seigneurie de la Pointe-aux-écureuils et elle se développe lentement, tant sous le système français et le système anglais. Puis, l'industrie du papier s'installe en 1912 (Donnacona Paper limited) et, en 1924, un couvent y est érigé pour l'enseignement au jeunes filles. 

Aujourd'hui, même si l'industrie du papier a disparu, le Parc industriel de Donnacona apporte son lot d'effort dans l'économie de la région. 

La population de la ville est estimée à 6,000 personnes. 

A proximité de la ville, on trouve aussi le pénitencier fédéral de Donnacona.

Si vous voulez plus d'information sur la ville de Donnacona, vous pouvez consulter les sites suivants




Plume


           Précédent  ☆ ☆ ☆  Voyages  ☆ ☆ ☆  Plein air  ☆ ☆ ☆ Suivante

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire