Cuba 4 — Une première impression
En bordure de la capitale, l’autobus s’arrête plutôt brusquement, ce qui porte les passagers à observer une scène touchante. Le conducteur avait stoppé le véhicule pour permettre à un vieil homme muni d’un sac de vidanges noir, marchant difficilement avec une canne, de traverser très lentement la nationale. Sur sa tête, une calotte à la Fidel Castro se tient en déséquilibre. D’un sourire sans dents, il remercie notre chauffeur. Son compagnon de travail, d’une vingtaine d’années, l’encourage à se rendre dans la clairière en bordure de la route pour y ramasser des détritus laissés par les visiteurs... ou un orage.
Commentaires
Enregistrer un commentaire