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27-28 février 2012 (Lundi et mardi)
Quand nous sommes arrivés sur la plage sablonneuse du site Billy Clarke Lodges, je ne suis sentie comme si je venais d'arriver à un camp de vacances. Je ne me trompais pas. La visite se voulait informative bien sûr, particulièrement sur la nécessité de protéger l'environnement fragile de l'Amazonie, mais comment comprendre l'Amazonie sans écouter la forêt, relaxer sur la plage et se baigner dans ses eaux?
Ainsi, nous avons été gâtés.
D'abord, nos guides ....
Edouardo est le fils de Billy Clarke
Il nous a guidé dans sa forêt amazonienne pour nous expliquer sa richesse en flore et en faune.
Il nous a aussi parlé de son désarroi face au vol de ses arbres plusieurs fois centenaires qui contribuent au maintient de la canopée. Il est difficile de surveiller son vaste territoire de 50 hectares et les voleurs coupent les arbres à la scie à chaîne et sortent rapidement les billots de la forêt pour les revendre à prix d'or sur les marchés internationaux.
Il est fier de son Amazonie, de sa culture et de sa mère ...

Il s'appelle Eddie ... je pense.
Il était très sympathique et j'appréciais qu'il réponde à mes nombreuses questions, même si je devais lui faire répéter ses réponses pour m'habituer à son accent rapide et saccadé.
En échange, il ne demandait le nom des filles du groupe de jeunes. Il me faisait aussi répéter ces noms qui sonnaient étranges en espagnol.
Il ne m'a demandé aucun des noms des garçons ....
Il m'a demandé le nom de toutes les filles ....
Les marches en forêt amazonienne.
Vous avez vu les bottes que portent Edouardo? Lors de la marche en forêt amazonienne, elles étaient essentielles et nous en avons tous portés ... sauf Lyne la coquette qui avait emporté dans ses bagages, des bottes de caoutchouc noires à pois blancs.
Il y a eu deux marches dans deux secteurs du territoire de Billy Clarke. Une première marche de deux heures le 27 février et une autres de trois heures, plus difficile, le 28 février. Nous avons marché, parfois glissé, dans la boue, marcher dans une rivière bourrée de roches invisibles et marcher dans le fond de cette forêt intense, sous la canopée.
Voici quelques photos
Des racines ou des branches ?
La canopée vue d'en dessous
Il faisait soleil mais ce dernier ne pénétrait pas dans cette forêt très dense.
Des fleurs partout
Des papillons gros, très gros
Le saut avec une lianne ... wow ça va vite!
Bien sûr, il y a eu les moments de bien-être où nous avons juste relaxé ...
La descente en tubes
Comment pourrait-on éviter le feu de camp et les champs quand on vit si prêt de la plage.
Ce fut deux journées bien remplies. Nous avons eu beaucoup de plaisir tout en apprenant beaucoup sur cette partie de la planète que plusieurs considèrent comme le poumon de la planète.
Plume
Ainsi, nous avons été gâtés.
D'abord, nos guides ....
Edouardo est le fils de Billy Clarke
Il nous a guidé dans sa forêt amazonienne pour nous expliquer sa richesse en flore et en faune.
Il nous a aussi parlé de son désarroi face au vol de ses arbres plusieurs fois centenaires qui contribuent au maintient de la canopée. Il est difficile de surveiller son vaste territoire de 50 hectares et les voleurs coupent les arbres à la scie à chaîne et sortent rapidement les billots de la forêt pour les revendre à prix d'or sur les marchés internationaux.
Il est fier de son Amazonie, de sa culture et de sa mère ...

Il s'appelle Eddie ... je pense.
Il était très sympathique et j'appréciais qu'il réponde à mes nombreuses questions, même si je devais lui faire répéter ses réponses pour m'habituer à son accent rapide et saccadé.
En échange, il ne demandait le nom des filles du groupe de jeunes. Il me faisait aussi répéter ces noms qui sonnaient étranges en espagnol.
Il ne m'a demandé aucun des noms des garçons ....
Il m'a demandé le nom de toutes les filles ....
Les marches en forêt amazonienne.
Vous avez vu les bottes que portent Edouardo? Lors de la marche en forêt amazonienne, elles étaient essentielles et nous en avons tous portés ... sauf Lyne la coquette qui avait emporté dans ses bagages, des bottes de caoutchouc noires à pois blancs.
Il y a eu deux marches dans deux secteurs du territoire de Billy Clarke. Une première marche de deux heures le 27 février et une autres de trois heures, plus difficile, le 28 février. Nous avons marché, parfois glissé, dans la boue, marcher dans une rivière bourrée de roches invisibles et marcher dans le fond de cette forêt intense, sous la canopée.
Voici quelques photos
Des racines ou des branches ?
La canopée vue d'en dessous
Il faisait soleil mais ce dernier ne pénétrait pas dans cette forêt très dense.
Des fleurs partout
Des papillons gros, très gros
Le saut avec une lianne ... wow ça va vite!
Bien sûr, il y a eu les moments de bien-être où nous avons juste relaxé ...
La descente en tubes
Comment pourrait-on éviter le feu de camp et les champs quand on vit si prêt de la plage.
Ce fut deux journées bien remplies. Nous avons eu beaucoup de plaisir tout en apprenant beaucoup sur cette partie de la planète que plusieurs considèrent comme le poumon de la planète.
Plume
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