27 avril 2012
J’ai eu beau vidé ma tête de tout ce que j’ai vécu et ressenti lors du voyage humanitaire en Équateur en écrivant 60 publications, je n'avais pas fini de réfléchir et d'agir face à ce projet d'eau potable de Chilcapamba. Je tenais personnellement à ce que l’expérience du projet humanitaire ne se termine pas avec notre retour. Pour moi, les droits de l'homme c'est du sérieux. Or, l'accès à l'eau potable est un droit de l'homme depuis 2010.
Je ne peux pas donner de l'eau potable à tous les enfants et tous les adultes de la planète. Mais si je porte ma contribution sur le projet de Chilcapamba, il y aura un coin de cette planète qui pourra mieux vivre. Les enfants de Chilcapamba n'auront plus à boire de l'eau qui vient de l'aqueduc à ciel ouvert qui alimente les fermes en eau pour le potager et les animaux.
C'est pour cela que j'ai accepté de travailler sur un kiosque qui a été présenté lors du colloque de la Société des écoles du monde du BI (Bac International) du Québec et de la Francophonie (SÉBIQ), un évènement à Boucherville qui attendait 640 participants, professeurs directeurs des écoles ou programmes internationaux.
L'objectif principal de la journée était d'assurer que le projet d'eau potable de Chilcapamba se poursuivre dans le futur et qu'il rayonne au-delà de l'École secondaire qui a déjà visité l'Équateur à quatre reprises.
La réalisation de cet objectif passait par quelques activités:

Pour m'accompagner dans l'aventure, il y avait Anis, un des étudiants qui a participé au premier voyage il y a quatre ans. Nous étions très fiers de notre performance. Le kiosque était très populaire; il intriguait les gens tant par son thème (le projet d'eau potable), sa simplicité que l'enthousiasme des deux préposés. Voir la photo.
Il fallait convaincre d'autres écoles et des professeurs de participer au projet. C'est ainsi que nous avons parlé de l'expérience de l'école secondaire qui a endossé le voyage. L'école envoie des délégations depuis quatre ans et il y a déjà une continuité d'intervention et de travail de collaboration entre l'école, les organisateurs à Chilcapamba et notre guide. L'école est en train d'identifier les professeurs qui participeront au voyage en février 2013.
Nous avons entendus des questions sur les prix, la sécurité lors du voyage, la nourriture, l'encadrement des jeunes, le logement. C'était des questions très pointues qui nous ont convaincus qu'il y avait des intéressés. Cela ne prend qu'une école, un professeur, pour que le projet d'eau potable continue de vivre soit par un voyage, soit par une collecte de fonds. Anis et moi sommes d'avis que nous avons rendu la commande.
Il fallait faire la promotion du voyage humanitaire proposé par Tierry. Nous avons distribué environ 50 cartes d'affaires. Puis, les encarts insérés dans les trousses des participants attiraient les gens au kiosque. Puis, nous avons fait la promotion du projet de voyage humanitaire auprès des agences de voyages scolaires présents dans le secteur des kiosque. L'une d'elle avait communiqué avec Thierry dans les jours suivants. Encore une fois, nous faisions succès.
Si vous êtes directeur, professeur ou étudiant d'école secondaire, de CEGEP, d'université et que ce genre de voyage humanitaire qui change la vision que nous avons du monde et de la vie, vous pouvez consulter les coordonnées suivantes :
Plume
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