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Rubrique sur mes lectures:
Auteure : Paula Hawkins
Roman : The girl on the train (La fille du train)
Genre : Thriller psychologique
Genre : Thriller psychologique
Année : 2015
Édition : Deckle Edge (paperback)
Trois femmes : Rachel, Anna, Megan. Trois hommes : Scott, Tom, Kamal. Tous liés entre eux par le jeu des mariages et des infidélités. Chacun d’eux est coupable d’une quelconque action répréhensible. Un seul est un meurtrier sordide. Mais lequel ?
Rachel prend le train de banlieue tous les jours pour se rendre à Londres. Chaque fois, deux fois par jour, le train s’arrête au même endroit, laissant à notre personnage principal le temps d’observer les appartements qui longent la voie ferrée et de s’imaginer le vécu d’un couple qui lui semble si heureux. Puis la jeune femme disparaît; on la retrouve morte dans un bois, assassinée. Au fil des pages, Rachel, alcoolique et prône aux amnésies alcooliques, tente de retrouver cette mémoire d’évènements qui ne se sont pas enregistrés dans son cerveau imbibé d’alcool. Au fil des pages, nous comprenons que les moments perdus contiennent des informations qui faciliteraient le travail des enquêteurs. Dès lors, on a envie de l’aider... même si les émotions qu’elle ressent sont plus empreintes de peur et de terreur, que de culpabilité ou de regret. Qu’a-t-elle fait au cours de ces heures troublées ? Que sait-elle ?
J’ai lu ce roman dans la langue de Shakespeare, mais je suis certaine que la traduction en français saura captiver autant les lecteurs.
J'ai visité Londres à quelques reprises et j'ai choisi chaque fois d’y loger en périphérie, préférant me rendre au centre de cette capitale en train. Je comprends donc le comportement du personnage principal d’observer les gens que l’on aperçoit à travers la vitre qui nous rend invisibles; comme un voyeur qui interprète ce cinéma vivant qui s’étale devant nous à l’air libre. Combien de scènes ai-je imaginées en regardant un personnage original, un uniforme, une robe particulière ou un chapeau ? Ne vous êtes vous jamais demandé à qui parlaient ces personnes qui ont le cellulaire à l’oreille ? N’avez-vous pas tenté d’inventer la deuxième partie de la conversation ? L’analogie utilisée par Paula Hawkins pour écrire ce thriller est intéressante en soi.

Née et élevée au Zimbabwe, Paula Hawkins s’installe à Londres en 1989, à l’âge de 17 ans. Elle étudie à Oxford en philosophie, économie et finance. Son premier livre traite de la finance (The money Godess) puis elle fait carrière sous le pseudonyme d’Amy Silver en écrivant des fictions romantiques. The Girl on the Train est son premier thriller psychologique dans lequel elle traite de la violence conjugale et de l’alcoolisme féminin. Le roman s’est rapidement retrouvé sur la liste des bestsellers de New York. Plusieurs millions d’exemplaires ont été vendus dans le monde; trois millions uniquement aux États-Unis.
J’ai bien l’intention de suivre cette auteure à l’avenir. Si elle a pondu celui-là en six mois, que peut-elle faire en quelques années ?
Bonne lecture !
Suzie Pelletier
Merci d'encourager l'édition indépendante
Trois femmes : Rachel, Anna, Megan. Trois hommes : Scott, Tom, Kamal. Tous liés entre eux par le jeu des mariages et des infidélités. Chacun d’eux est coupable d’une quelconque action répréhensible. Un seul est un meurtrier sordide. Mais lequel ?
Rachel prend le train de banlieue tous les jours pour se rendre à Londres. Chaque fois, deux fois par jour, le train s’arrête au même endroit, laissant à notre personnage principal le temps d’observer les appartements qui longent la voie ferrée et de s’imaginer le vécu d’un couple qui lui semble si heureux. Puis la jeune femme disparaît; on la retrouve morte dans un bois, assassinée. Au fil des pages, Rachel, alcoolique et prône aux amnésies alcooliques, tente de retrouver cette mémoire d’évènements qui ne se sont pas enregistrés dans son cerveau imbibé d’alcool. Au fil des pages, nous comprenons que les moments perdus contiennent des informations qui faciliteraient le travail des enquêteurs. Dès lors, on a envie de l’aider... même si les émotions qu’elle ressent sont plus empreintes de peur et de terreur, que de culpabilité ou de regret. Qu’a-t-elle fait au cours de ces heures troublées ? Que sait-elle ?
J’ai lu ce roman dans la langue de Shakespeare, mais je suis certaine que la traduction en français saura captiver autant les lecteurs.
J'ai visité Londres à quelques reprises et j'ai choisi chaque fois d’y loger en périphérie, préférant me rendre au centre de cette capitale en train. Je comprends donc le comportement du personnage principal d’observer les gens que l’on aperçoit à travers la vitre qui nous rend invisibles; comme un voyeur qui interprète ce cinéma vivant qui s’étale devant nous à l’air libre. Combien de scènes ai-je imaginées en regardant un personnage original, un uniforme, une robe particulière ou un chapeau ? Ne vous êtes vous jamais demandé à qui parlaient ces personnes qui ont le cellulaire à l’oreille ? N’avez-vous pas tenté d’inventer la deuxième partie de la conversation ? L’analogie utilisée par Paula Hawkins pour écrire ce thriller est intéressante en soi.

Née et élevée au Zimbabwe, Paula Hawkins s’installe à Londres en 1989, à l’âge de 17 ans. Elle étudie à Oxford en philosophie, économie et finance. Son premier livre traite de la finance (The money Godess) puis elle fait carrière sous le pseudonyme d’Amy Silver en écrivant des fictions romantiques. The Girl on the Train est son premier thriller psychologique dans lequel elle traite de la violence conjugale et de l’alcoolisme féminin. Le roman s’est rapidement retrouvé sur la liste des bestsellers de New York. Plusieurs millions d’exemplaires ont été vendus dans le monde; trois millions uniquement aux États-Unis.
J’ai bien l’intention de suivre cette auteure à l’avenir. Si elle a pondu celui-là en six mois, que peut-elle faire en quelques années ?
Bonne lecture !
Suzie Pelletier
Merci d'encourager l'édition indépendante