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Affichage des articles du octobre, 2015

Écriture - Incohérence dans l'univers du livre au Québec

* * * Autres textes sur l'écriture  * * * Il y a quelques heures, le Huffington Post Québec a publié mon dernier billet concernant l’industrie du livre au Québec. J’y critique notre  système gouvernemental qui, supposément, vise à protéger l’industrie du livre au Québec. J’ai mes doutes, du moins je constate que les auteurs n’y trouvent pas leur compte. Rarement. Je remets ici le texte complet : * * * * * * Incohérence dans l’univers du livre au Québec Un jour, j’ai décidé de publier mon roman. J’ai donc communiqué avec le ministère de la Culture pour connaître le moyen d’obtenir une subvention. « Voyons madame ! Il faut appeler les éditeurs ! » m’a-t-on répondu sur un ton condescendant. Comme si j’étais une imbécile qui dérangeait. Un maringouin qu’on chasse du revers de la main, ou qu’on écrase. Aux yeux de l’État, j’étais devenue une auteure. Choquée, je suis restée sans répartie. J’ai étouffé ma question suivante : « Qui a eu cette idée farfelue d’appeler le fou

Écriture - Les journaux et les livres

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* * * Autres textes sur l’écriture * * * J’ai aussi traité de ce sujet sur le blogue du Huffington Post Québec. Pour voir l’article, veuillez utiliser le lien suivant :  «  Plus on lit plus, on aime ! Plus on aime, plus on lit !  » Quand on devient écrivain et qu’on ne jouit pas déjà d’une notoriété publique, il est très difficile de se faire connaître. Au fil des ans, je me suis intéressée à ce phénomène. Je suis lectrice depuis de nombreuses années et je fouille l’internet régulièrement pour trouver de nouveaux romans qui ne sont pas sur les rayons de nos librairies. Un jour, je me suis abonnée à la revue littéraire LETTRES QUÉBÉCOISES . Je les remercie d’ailleurs pour leur travail incessant afin de faire connaître nos écrivains québécois. J’aime beaucoup ce périodique spécialisé qui commente à chaque édition une quinzaine de livres de styles différents et de catégories variées. Chaque fois, je reste perplexe. Je me définis depuis longtemps comme un rat de bibliothèque et