lundi 24 juin 2013

Lecture - Le journal des écrivains en liberté

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Journal des Écrivains en liberté 
Auteurs : Freedom Writers et Erin Gruwell
Traduction : Nicole Gobeil
Catégorie : Histoire vraie
Les éditions campanules
ISBN 978-2-924131-00-8

Je m’intéresse depuis longtemps au phénomène de la diversité dans les organisations, cherchant à éliminer l’intolérance et l’ignorance tout en convainquant les hauts dirigeants de la nécessité d’avoir dans ses rangs des représentants de tout notre tissu social canadien, au bénéfice de notre société. Je suis convaincue que chaque individu est une personne unique et que, plutôt que de tenter d’uniformiser le comportement, de les comparer entre eux, nous devrions plutôt respecter les différences et mettre à profit leur potentiel. Je crois aussi que chaque personne a sa place sous le soleil et que notre rôle à titre de parent, éducateur, conseiller, coach, gestionnaire, superviseur, ami et autres est d’encourager ceux qui nous sont confiés à définir la place qui leur convient. 

source : www.les editionscmpanules.com

J’étais donc intriguée par le livre ; comment une enseignante du secondaire, tout juste sortie de l’université, avait-elle réussi à créer une dynamique d'enseignement si extraordinaire qu’elle a produit les Écrivains de la liberté ? 150 jeunes qui, selon les paramètres actuels de notre société, étaient des rejets, des causes perdues. Ils se définissaient eux-mêmes comme des cancres. 

Nicole Gobeil (traductrice) et moi avons participé à plusieurs Salons du livre ensemble, parfois au même kiosque. J’ai pris le bouquin plusieurs fois dans mes mains sans me décider à l’acheter. Puis, un jour, elle a poussé ma décision. « Je te fais un marché. Je te donne mon livre et tu me donnes le tien. » D’abord surprise par l’offre, j’ai fini par accepter. Le bouquin était dans ma bibliothèque depuis plusieurs semaines avant que je me décide de plonger dans les pages, il y a quelques jours. 

À travers les quatre années d’enseignement de Erin Gruwell, on découvre par le biais de pièces du journal personnel des Écrivains de la Liberté, comment la professeure a réussi à aider ces jeunes à cheminer dans la vie en les intéressant à la lecture et à l’écriture. On peut lire et ressentir à travers leurs écrits, au fil des rentrées scolaires (huit en tout), comment ces étudiants trouvent leur voie dans la vie. On comprend aussi toutes les épreuves que ces adolescents vivent dans un quartier défavorisé de Long Beach à Los Angeles, où le crime, le trafic de drogue et les abus en tout genre sont le lot quotidien. Avec l’aide de leur professeure d’anglais, les Blancs, les Latinos et les Afro-Américains apprennent à mettre leurs différences et leur haine de l'autre de côté, pour mettre leur énergie sur deux priorités, la tolérance et l’éducation. Le rêve de Martin Luther King jr en action nous donne le frisson. Ils ont réussi au-delà de toutes les espérances.  La majorité des jeunes, pour qui le diplôme du secondaire était illusoire avant l'arrivée d'Erin, ont été admis à des études universitaires ; ils laissent donc, à travers leur projet d'écriture, un message d'espoir pour ceux et celles qui viennent des milieux défavorisés.

source : Wikipédia

L’histoire véridique a été portée à l’écran par Richard LaGravenese en 2007. Le film qui met en vedette Hilary Swank dans le rôle d'Erin, est disponible en anglais et en français.









Le livre est également disponible en version électronique. On peut se le procurer au site web de l’Alliance québécoise des éditeurs indépendants.


Érin n’enseigne plus dans son école secondaire. Elle occupe maintenant un poste de professeur à l’Université de l’état de la Californie à Long Beach. Elle propage ses méthodes à succès chez les futurs éducateurs du secondaire, partageant ses idéaux le plus largement possible. 

Chacun des Écrivains en Liberté est devenu des ambassadeurs pour promouvoir les valeurs de tolérance, le respect de soi-même, le droit à l’éducation et la paix dans le monde. 

Pour faire une toute petite part dans ce flot de changement, je ne mettrai pas mon livre dans une bibliothèque pour qu’il amasse la poussière. Je connais une professeure qui enseigne l’éthique dans une école secondaire et je suis certaine qu’elle appréciera. Elle saura quoi faire de ce magnifique livre. 

À conseiller pour tous les enseignants qui ont à coeur de promouvoir la cause de la tolérance dans les écoles.  

À conseiller à toute personne qui s'intéresse au phénomène de la diversité ou qui veut faire une différence. 

Bonne lecture

Plume/Suzie Pelletier

mardi 18 juin 2013

Abitibi-Témiscamingue - Rouyn-Noranda


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Abitibi-Témiscamingue - Rouyn-Noranda
26 mai 2013


 Fontaine près du lac Osisko
Source: Wikipédia

Je ne pouvais manquer l’occasion de passer au travers la « capitale » de l’Abitibi-Témiscamingue. Parcourir autant de kilomètres et manquer l’opportunité ? Il n’en était pas question. Alors, même si l’application « Map » m’indiquait que le plus court chemin vers la maison passait par Amos, je tenais à faire les quelques kilomètres supplémentaires pour m’y arrêter... mon arrivée sur l’heure du souper me donne l’impression que la majorité des résidents sont sur la route. C’est plus long, mais je ne regrette rien. 

41,012 Rouynorandiens habitent la ville. La découverte de gisement de cuivre en 1917. sur le bord du lac Osisko est à son origine. À la suite d’une fusion en 1986, les deux villes avoisinantes de Rouyn et de Noranda en deviennent une seule. 


Arrivée de Radisson
source : Wikipédia

Bien sûr, cette région très boisée et remplie d’eau était habitée par les humains depuis plus 8000 ans. Les peuples algonquins l’occupent depuis au moins le 13e siècle. À l’arrivée des Européens, les Témiscamingues (Algonquin) et les Abitibis (Cris de la Baie-James) se partageaient le territoire. L’histoire de l’arrivée des Français nous rappelle ces noms de nos livres d’histoires scolaires. Notons Radisson (1670), Pierre Chevalier de Troye (1689) et les frères Lemoyne.


Voici deux sites web qui donnent plus d’information sur cette ville dont la publicité lui donne le nom de « ville de sensations ». 

Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouyn-Noranda

Ville de Rouyn-Noranda
http://www.ville.rouyn-noranda.qc.ca/fr/index/


Source: Wikipédia

La ville offre deux circuits d’interprétation intéressants. D’abord, l circuit d’interprétation du vieux-Noranda « une mine, une ville ». L’autre, « le chemin des pionniers » nous présentent l’histoire du Vieux-Rouyn. Pour plus d’information, visiter http://www.cldrn.ca/vitrine/index.html. On offre aussi un tour de ville guidée (PMB tours de ville), à peu de frais, que l’on peut faire à pied, à vélo, en voiture ou en autocar. LA compagnie offre aussi des balades intéressantes vers d’autres attraits comme le parc national d’Aiguebelle. 

Bien sûr, si vous êtes amateurs de hockey, vous savez déjà que les Huskies, de la Ligue majeure du Québec, sont localisés à Rouyn-Noranda.

Bonne visite... 

Plume/Suzie Pelletier

jeudi 13 juin 2013

Abitibi-Témiscamingue - La Sarre





Abitibi-Témiscamingue — La Sarre
23 au 26 mai 2013

J’étais à La Sarre pour le Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue. Si j’y ai habité pour trois jours, je n’ai pas vraiment eu le temps de la visiter. C’est dommage, car ce que je viens de lire sur cette ville me plaît beaucoup. J’y retournerai donc incognito... en touriste. 


☚ source : http://www.ville.lasarre.qc.ca

 Au nord de La Sarre, c’est le Nord-du-Québec, à l’ouest, l’Ontario. La petite communauté abrite 7,719 Lasarrois et Lasarroise (2011) et occupe un territoire d’à peine 149 km2. La première famille, celle de Louis Ayotte, est arrivée en 1912 ;  la municipalité prend forme en 1917. Voici deux sites qui peuvent vous aider à mieux comprendre cette belle ville accueillante. 

Wikipédia :

La ville de La Sarre :

La société d’histoire de La Sarre :


En 1989, la ville obtient le titre ronflant de « Capitale forestière du Canada ». Malheureusement, je ne peux m'en réjouir. Mon cœur d’écologiste et d’amoureuse de la nature interprète qu’on y coupe plus d’arbres à La Sarre qu’ailleurs au pays. Je suis incapable de tirer de la fierté de ce titre. 

On comprendra que, comme c’est le cas partout dans la région, la principale industrie est l’exploitation forestière, suivi de près par l’agriculture et les mines.  



☚ Le manoir Bordeleau
source : http://www.abitibi-ouest.net

 

En arrivant dans la ville, prenez le temps de visiter le bureau touristique pour vous procurer une trousse de visite ; celle-ci comprend un circuit patrimonial  fort intéressant qui comprend les volets suivants :



Le Centre d’interprétation de la foresterie 
La Maison du Dr Rheault
Le Magasin général Donat-Bordeleau
Le Manoir Bordeleau
Le Presbytère
L’Église St-André de La Sarre
La Maison Lavigne
Arts et Culture
Les ponts couverts


☚ Les ponts couverts
source : http://www.abitibi-ouest.net

Mon emploi du temps limitait mes déplacements entre l’hôtel (La Villa mon Repos) et le Colisée de La Sarre, le lieu du Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue 2013. J’ai donc peu visité la ville. Par contre, en tant qu’auteure peu connue, j’ai été ébahie par l’accueil des gens du coin. J’ai vu tous les jours des personnes aimant la lecture autant que la vie ; leurs questions et commentaires m’ont fait grandir, tant comme personne qu’écrivaine. 

J’ai déjà hâte à l’an prochain, sachant que les gens de La Sarre se rendront à Amos où aura lieu l’édition 2014 de ce Salon du livre.

Merci à tous !


Plume/Suzie Pelletier

mardi 11 juin 2013

Abitibi-Témiscamingue - Amos



Abitibi-Témiscamingue - Amos
23 mai 2013

En route vers La Sarre pour le Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue, je n’étais pas obligée de passer par Amos. J’y avais rendez-vous pour un souper en famille. Christian, un cousin que je n’avais pas vu depuis trop longtemps, et son épouse Marie-Jeanne m’attendaient. Quelle belle rencontre !


source : 

Ce 23 mai en après-midi, quand j’ai repris mon chemin après un repos nécessaire à Val-d’Or, il ne neigeait plus et la promesse du soleil se concrétisait enfin. Je me suis retrouvée sur des bouts de routes très droits entrecoupés de courbes à 90 degrés... intéressants... on a fait le tour des champs cultivés ? J’avais l’impression de suivre le bord de l’eau qui apparait ici et là entre les maisons ou derrière une église en pierres de rivière. Je ne me trompais pas. Quand j’ai finalement regardé la carte, j’ai vu que la route 111 passe à côté des lacs de Montigny, Malartic (le plus gros), La Motte ainsi que la large rivière Harricana. Peut-on être surpris que la pêche soit un sport local ? 

Source 
http://www.ville.amos.qc.ca

Amos est une petite ville très sympathique où habitent 17,671 Amossois et Amossoises (2011). La moitié d'entre eux ont moins de 37 ans. La première ville constituée de l’Abitibi fêtera son centième anniversaire en 2014. Plusieurs activités s’installent déjà, dont la 37e édition du Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue. J’y serai bien sûr... 


Le site web de la ville présente un petit vidéo fort intéressant sur la ville (voir au centre de la page d’accueil « Un choix de vie, une vie de choix »)


L’industrie forestière est la plus importante de la région, suivi de près par l’agriculture et l’industrie minière. Mais la région possède aussi une ressource très rare. De l’eau naturelle issue d’eskers. Si vous avez déjà bu de l’eau embouteillée de marque Eska, vous avez eu la chance de boire de l’eau d’Amos, cette eau cristalline presque parfaite... Ce n’est pas moi qui le dis, mais plutôt La Semaine Verte de Radio-Canada :


source : Wikipédia

Un esker est une formation d’origine glaciaire qui se forme dans un tunnel sous un glacier. Une fois le glacier retiré, il reste une butte de forme allongée et sinueuse, formée de matériaux fluvio-glaciaires. On retrouve ce phénomène très rare en Scandinavie et au Canada. La NASA en aurait aussi trouvé sur Mars. Le site web de la compagnie qui produit l’eau d’Eska donne une brève explication de l’origine de la formation géologique présente à Saint-Matthieu-Berry.


Parmi les choses à visiter à Amos, nous retrouvons la Maison Hector-Authier, la Maison de la culture, la maison du tourisme, la cathédrale dont l’architecture est d’inspiration romane byzantine et... bien sûr, les activités du 100e... Voici quelques sites à visiter en plus de ceux déjà identifiés. 


Wikipédia

Le 100e anniversaire :

La maison de la culture :

La maison Hector-Authier :

Le théâtre des Eskers : 




Bonne lecture et surtout... bon voyage!

Plume/Suzie Pelletier






jeudi 6 juin 2013

Abitibi-Témiscamingue - Val-d'Or


Abitibi Témiscamingue - Val-d’Or
23 mai 2013


Quand j’ai traversé le rondpoint qui fait passer la 117 au nord de la ville, j’ai décidé de faire plutôt une balade dans la ville. Je n’étais que de passade, deux fois d’ailleurs, en route vers le Salon du livre de l’Abitibi-Témiscamingue (23 mai) et pour le retour (26 mai). Ville importante de ce coin du Québec, je m’y suis quand même intéressée. 




Bien sûr, j’avais un urgent besoin d’un café... Val-d’Or est à 525 km de chez moi et je conduisais depuis le matin... sauf pour un arrêt à Mont-Laurier... J'ai donc cherché un Tim Hortons que j’ai découvert sur la 3e avenue. Bien assise à la chaleur (le thermomètre extérieur marquait 0), un café bien chaud à côté de mon iPad, j’ai voulu connaître cette ville que je n’avais pas le temps de visiter. 

Le site web de la ville nous parle bien sûr de chasse, de pêche, de randonnée pédestre et de vélo. Je cherchais à préparer une prochaine visite plus touristique... J’ai trouvé ceci, qui est nullement une liste exhaustive : 


La cité d’or/village-minier-de-Bourlamarque


☚ source http://ville.valdor.qc.cq













☚ source http://ville.valdor.qc.cq









Centre d’exposition de Val-d’Or




☚ source http://ville.valdor.qc.cq








Circuit historique : Héritage Val-d’Or



                                              
☚ source http://ville.valdor.qc.cq









Église orthodoxe russe

☚ source http://ville.valdor.qc.cq










Musée minéralogique de l’Abitibi — Témiscamingue  






☚ source http://ville.valdor.qc.cq
                                   






C’est décidé ! j’y prépare un prochain voyage... 

La ville actuelle est le résultat d’une fusion en 1968 des anciennes villes de Bourlamarque, Val-d’Or et Lac-Lemoyne, puis d’une deuxième fusion en 2002 avec les municipalités Dubuisson, Louvicourt, Sullivan, Val-Senneville et Vassan. L’ensemble de ces anciennes villes et villages ont été créés dans les années 1930 et trouvent leur origine dans la ruée québécoise vers l’or. Le très riche sous-sol du Bouclier Canadien contient aussi du zinc, du plomb, du cuivre et de l’argent. 

Les Valdoriens sont au nombre de 32,863 habitants, selon les statistiques de 2011. Leur ville est la deuxième en importance dans la région. 

Pour en savoir plus sur la ville, il faut visiter les sites web suivants : 

Site de la ville:


Wikipedia: 



mardi 4 juin 2013

Abitibi-Témiscamingue - Le parc La Vérendrye



Val d'or, Québec
23 mai 2013 14 h 30

Je suis en route vers La Sarre pour le Salon du livre de l'Abitibi-Témiscamingue... 

La route entre Mont-Laurier et Val-d’Or a ceci de particulier qu’elle traverse le parc La Vérendrye dans sa longueur. Trois heures de route où la forêt fait compétition aux innombrables lacs... et j’en suis l’unique gagnante. Quand je suis partie de Mont-Laurier, il ne pleuvait plus et j’avais le cœur léger. Mais les gros nuages n’en avaient pas fini avec moi. 

Dès mon entrée dans le parc, le ciel s’est déversé sur mon auto. Alors que mes essuie-glaces travaillaient fort pour que je puisse voir dehors, je tentais d’observer cet environnement nouveau. J’ai vu la forêt changer. Si à Montréal les feuillus sont déjà touffus, ici ils commencent à peine de se garnir de feuillage tendre. Les bouleaux blancs, toujours un peu tardifs, n’en sont qu’aux bourgeons. Puis, alors que les lacs et les rivières défilent, la forêt se pare de plus en plus de conifères. Je vois ces arbres qui, quand le climat est rude, donnent l’impression d’avoir grandi trop vite pour se fabriquer un bon feuillage. Les épinettes noires au tronc tordu s’étirent vers le ciel ; à leurs branches courtes s’accrochent de petites aiguilles vert foncé ; tout lui donne une apparence sombre, surtout le temps nuageux d’aujourd’hui. 

Pour briser l’isolement, je place ma Legacy derrière une fourgonnette blanche qui file un bon train. J’écoute la musique des Chieftains, ce groupe irlandais. Alors que mon iPhone me donne des sons de gigue au violon et à la flûte sur fond de claquette, je ressens une sorte de déplacement spatio-temporel... Je suis assise à gauche dans la voiture, fort étonnée de tenir le volant... Pourquoi l’auto roule-t-elle à droite de la ligne centrale ? Pourquoi la route est-elle si droite et si large ? Je m’attends à tout moment à la voir se rétrécir au point de ne laisser passer qu’une seule voiture à la fois. Est-ce qu’il y aura un voyage de foin au prochain tournant ? Alors que la musique me transporte dans le nord-ouest de l’Irlande, la végétation un peu trop intense me ramène peu à peu dans mon Québec natal. Ouf ! 

Pendant que j’ajuste la chaleur dans l’habitacle de la voiture, j’observe les petites barres de mon cellulaire disparaître ; roulant tout droit vers la vague de froid qui envahit le pays au complet, le thermomètre extérieur baisse à 10, 8, 6, 4 puis 2. Quand il marque finalement 0, mon parebrise se remplit de gros flocons de neige molle qui éclatent sur la vitre en tâches visqueuses. Ébahie, je vois la nature environnante se couvrir d’une mince couche blanche... Aurais-je dû apporter mes bottes ? Mon âme de rebelle se révolte... Non ! J’en ai assez de l’hiver ! 

Nostalgique, je poursuis ma route vers ce soleil que me promet MétéoMédia depuis midi... 

Quand les petites barres de mon cellulaire réapparaissent une par une, je réalise que ma sortie du parc est pour bientôt. Je suis déçue... le mauvais temps m’a empêchée de bien voir sa magnificence... Je me console, sachant que mon retour se fera sous le soleil...








Trois sites web pour des informations sur le parc : 

Wikipédia 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Réserve_faunique_La_Vérendrye

Bonjour Québec
http://www.bonjourquebec.com/qc-fr/repertoire-attraits/reserve-faunique/reserve-faunique-la-verendrye_1980952.html

SEPAQ
http://www.sepaq.com/rf/lvy/


Plume/Suzie Pelletier